mesimagesquibougent

Voyage au coeur des mots

Film de Boca (aka Marcos Ceravolo) et Ryan Uhrich, de l’école du cinéma de Vancouver.

Variation sur le même thème...

Réalisateur : Nick Schrunk

Mercià

Péché capital

La gourmandise nous (me) perdra !

Réalisateur : Don Pan

Mercià

Moment de vérité

Après The Truth in Advertising, le même principe appliqué au premier rendez-vous.

First date
envoyé par superchomeur

Mercià

Monde de papier

Pour ce remettre de la note précédente, un peu de poésie de papier (on n'en sort pas!)

Papiroflexia
envoyé par zell777

Réalisateur : Joaquim Baldwin

Mercià

Prospective déprimante

Réalisation : Casaleggio Associates

Déjà que j'avais du mal à accepter que mon bébé grandisse, mais là je vais carrément le remballer pour lui éviter ça...

Mercià (enfin façon de parler...)

Belles à travers les arts

Le morphing confère un supplément d'âmes à des visages déjà si expressifs

Ovni suédois

Je cite : "A journey through the Kosmos, witnessing the implosion of the universe and the birth of a god"
No comment...

GE-996 by Pistachios
envoyé par ---PISTACHIOS

Autre réalisation : un clip pour Bogdan Irkük a.k.a. BULGARI.

Curare - Pistachios
envoyé par ---PISTACHIOS

Leur portfolio complet est là

Mercià

Une histoire émouvante de... rats

Pour poursuivre dans la tendance "rongeur" du jour, un magnifique court métrage d'Alex WEIL.
Ce n'était pas gagné de rendre ces bestioles sympathiques et pourtant on se laisse complètement embarquer.

One_rat
envoyé par nicop

Pour en savoir plus sur One Rat Short, c'est ici.

Mercià

Petite souris, dur métier.

Encore une belle démonstration du professionnalisme de Supinfocom de Valenciennes

Réalisateurs : Simon Lallement, Grégory Fatien et Davic Vandenbroecke.
Musique : David Chochoi

Mercià

Attention Talent

Un court métrage de Gilles Guerraz, jeune réalisateur dont on appréciait déjà les films et les chroniques sur Faire ou ne pas faire du Cinéma.

Ce n'est pas exactement son premier essai mais presque et ce qui frappe c'est qu'il arrive d'ores et déjà à ne pas tomber dans les erreurs classiques de jeunesse : le cadre pour le cadre, une mise en scène excessive...
Servi par des acteurs eux aussi jeunes et justes, la réalisation tout en finesse laisse le suspense s'installer. L''image est simplement belle et le sound design (de Reynald Frisson, ça ne s'invente pas !) magnifie l'ambiance sans en rajouter. Créatif et élégant jusqu'au bout du générique.
Bref, un talent à suivre.

NB: Gilles appartient au collectif Les Filmistes qui méritent aussi collectivement le détour.